Quand consulter un kinésiologue animalier ?

Quand consulter un kinésiologue animalier ?
ou Comprendre une discipline méconnue et sa complémentarité avec les autres professionnels du bien-être animal

La kinésiologie animale reste aujourd’hui une discipline encore largement méconnue du grand public mais également des autres professionnels du bien-être animal. Beaucoup de propriétaires ne savent pas quand consulter, ni dans quelles situations cette approche peut aider leur animal. Pour vous guider, voici un article qui vous donne des clés pour savoir quand faire appel à un kinésiologue animalier, et comment la kinésiologie peut se compléter avec les autres disciplines comme la médecine vétérinaire, l’ostéopathie et l’éducation comportementale.

La kinésiologie animale : une approche indispensable, au même titre que les disciplines émotionnelles chez l’humain

 La kinésiologie animale travaille directement sur l’émotionnel, les mémoires enfouies, les peurs, les réactions disproportionnées, les traumatismes…

 Quand un humain ne va pas bien émotionnellement, il va consulter un psychologue, un sophrologue, un kinésiologue ou autre. Pour les animaux, c’est exactement la même logique. Quand l’origine est émotionnelle, psychologique ou énergétique , la kinésiologie est indispensable.

Certaines problématiques purement émotionnelles amènent donc logiquement à consulter un kinésiologue animalier : angoisse de la séparation, stress dû à un changement dans la vie de l’animal, traumatisme passé, animal hypersensible, etc. Mais la kinésiologie intervient également souvent en complément des autres disciplines.

Elle est souvent la seule discipline capable de résoudre la racine émotionnelle d’un problème, là où les autres praticiens traitent les conséquences visibles (douleur, maladie, comportement…). D’où sa complémentarité avec les autres métiers.

 Le vétérinaire : la première étape indispensable

Dès que votre animal présente un symptôme physique, un comportement soudainement anormal ou une douleur, la première étape est toujours le vétérinaire. Lui seul peut diagnostiquer une maladie, un problème interne ou une souffrance physique. Cela vaut par exemple pour un animal qui n’est plus propre, qui urine partout, qui devient irritable, apathique, ou qui semble souffrir. Avant de penser émotionnel ou comportemental, on écarte obligatoirement toute cause médicale.

Complémentarité avec la kinésiologie animale :

Pour illustrer la complémentarité entre la médecine vétérinaire et la kinésiologie, voici un cas que j’ai récemment accompagné :
➡️ Un chat a développé une cystite de stress après l’arrivée d’un chien dans son foyer. Le vétérinaire a diagnostiqué et traité médicalement la cystite. De mon côté, j’ai travaillé en kinésiologie sur le stress émotionnel lié à l’arrivée du chien. En libérant ce stress, cela a permis d’éviter les récidives.

- Si vote animal a un problème médical qui revient régulièrement malgré les soins vétérinaires, il y a peut-être une composante émotionnelle à traiter avec la kinésiologie, en complément des soins médicaux.

La kinésiologie peut également accompagner :

l- es animaux en fin de vie, pour apaiser les émotions et soutenir cette transition difficile,
- ceux qui suivent des traitements médicaux lourds (cancer, maladies chroniques…), pour les aider à mieux supporter physiquement et émotionnellement cette période.

Le message essentiel : le vétérinaire en premier, puis la kinésiologie pour agir sur l’émotionnel.

L'ostéopathe animalier : le corps et les émotions fonctionnent ensemble.

L’ostéopathie animale traite les douleurs physiques, les blocages articulaires, les tensions musculaires et les problèmes de mobilité. Un ostéopathe peut grandement soulager un animal qui a mal ou qui bouge difficilement.

Complémentarité avec la kinésiologie animale :

Cependant, lorsque les douleurs reviennent régulièrement malgré plusieurs séances, cela peut révéler un blocage émotionnel : stress chronique, traumatisme passé, anxiété latente qui recrée des tensions physiques. La kinésiologie intervient alors pour libérer ces mémoires émotionnelles, permettant aux soins ostéopathiques de tenir plus longtemps. C’est l’alliance du corps et de l’émotionnel.

Pour résumer :

L’ostéopathie libère les tensions physiques.

La kinésiologie libère les tensions émotionnelles qui recréent ces douleurs.

Ensemble, elles apportent une amélioration durable, là où l’un des deux seuls pourrait voir des résultats temporaires.

L'éducateur comportementaliste : quand les émotions empêchent d'appliquer l'éducation

Le rôle de l’éducateur comportementaliste est d’aider l’animal à adopter des comportements adaptés : gestion de l’anxiété, socialisation, apprentissages, agressivité, habitudes du quotidien…

Complémentarité avec la kinésiologie animale :

Mais parfois, malgré un travail cohérent et adapté, les résultats restent partiels ou instables. Cela peut être le signe que l’animal est bloqué par : un stress ancien, une peur profonde, un traumatisme, une émotion que l’éducation seule ne peut pas libérer.
Dans ces cas-là, la kinésiologie permet de travailler sur l’origine émotionnelle, afin que l’animal soit réellement disponible pour apprendre, intégrer et changer.

L’éducateur donne les outils.
La kinésiologie supprime les freins émotionnels qui empêchent l’animal de les utiliser.

Vous hésitez encore?

Si malgré ces informations vous ne savez pas si la kinésiologie est la mieux adaptée pour la situation de votre animal, contactez-moi au 06-04-49-93-75.

Si vous souhaitez prendre rdv dans le Finistère pour une séance de kinésiologie animale, contactez-moi au 06-04-49-93-75 ou prenez rdv directement en ligne : https://www.kinesiologie-animale-bzh.fr/prendre-rdv-p391778.html